Surlignage vert : problème
de méthode
Surlignage rose :
problème de formulations
Orthographe
·
Quatre sans s
·
Parmi sans s
·
Malgré sans s
·
Champ sans s
·
Notamment : 1T 2M
·
Etre en train (en 2 mots) de faire quelque chose avec entrain (en 1 mot).
·
Malgré que…
Question sur corpus
Méthode
·
Commencer par une accroche sur le thème commun, pas sur
la présentation du corpus.
·
Pas de « texte 1 »,
« texte 2 »…
·
Pas de rappel des dates d’écriture des textes, surtout
pour les comparer…
·
La question posée doit être
reprise telle quelle dans
votre introduction. Se demander « Comment
les quatre document mettent-ils en scène le désespoir de l’homme confronté à sa
propre mort », ce n’est pas la même chose que se demander « Pourquoi l’Homme est-il au désespoir
face à la mort ? ».
·
Interpréter les textes, ne pas les étudier
dans la précision de leurs procédés d’écriture (rôle du commentaire littéraire).
·
La photographie de la mise en scène n’est pas suffisamment, ou pas
bien analysée.
Formulation :
·
Essayer de formuler de manière un
peu… littéraire (éviter : « Ce
texte nous précise que le roi a peur : « J’ai peur »
(l.59) », « ce corpus
dégage du désespoir », « Alexandre le Grand accepte son destin avec
la première phrase du texte »…)
·
Il était inutile de dire que tous
les hommes mourraient dans ces documents, c’est un fait posé d’emblée (ainsi,
inutile de relever le champ lexical de la mort partout !) ; la
question vous demandait de vous interroger sur l’attitude de ces hommes face à leur mort, et en particulier
sur l’expression du désespoir !
Plus précisément, la question sur corpus ne vous demandait pas de
vous interroger sur les points communs et les différences entre les documents.
Commentaire
Méthodo :
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Etudier les didascalies.
·
Etudier les expressions importantes du texte. Ainsi, il était impossible de
passer à côté d’une réflexion sur « l’impossible », terme essentiel,
pivot du texte, et sur l’expression finale « Je suis encore
vivant ! », alors même que Caligula se fait assassiner. (=> il
fallait réfléchir à la conception de la philosophie de l’absurde, et à ce
qu’elle implique sur le sens de la vie, et la recherche de l’impossible)
·
En règle générale, essayer de
prendre de la hauteur sur le texte, de l’analyser et de l’interpréter (il faut réfléchir à ce que dit le texte, ne pas se
contenter de le redire).
Formulations :
·
On parle de « lignes » dans tous les textes du
corpus proposé ; pas un seul extrait n’était en vers (l’écriture
théâtrale, à la différence de la poésie, ne suppose pas qu’il faille parler de
vers) ; c’était éventuellement acceptable pour le monologue d’Alexandre le
Grand, dont les fréquents passages à la lignes peuvent laisser imaginer qu’il
s’agit d’un texte en vers libres.
·
Eviter les formulations trop simplistes (« Caligula le méchant », « un siècle marqué par les
guerres et donc par la mort »,
« Camus, grand écrivain », etc.)
·
Question indirecte : pas
d’inversion du pronom, pas de point d’interrogation.
·
Remplacer tous les « on a… » par « on relève… »
·
« De par » ? « Cela
appuie » ?
Histoire
littéraire :
·
Attention : Il s’agit
ici d’un texte du XXe siècle, il n’était pas question de se demander si les
règles classiques de bienséance étaient respectées au moment de la mort sur
scène de Caligula !!! Camus n’est pas Molière.
·
Ne pas confondre théâtre de l’absurde et philosophie de l’absurde.
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